Prendre le café dans la lumière de midi. Se demander si l’on en boit trop ou se recommander d’en boire moins, mais le déguster tout de même pour le partager avec son amant. Poser la tasse à côté de son ordinateur telle la borne kilométrique du grand projet. Regarder s’envoler les volutes comme on se délecterait de celles d’un épais cigare du temps où l’on ignorait encore, ou à dessein tout ce qui nous fait du mal.